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Verneuil-sur-Avre, le 07-02-2022

Nicolas Miguet, un candidat à l’élection présidentielle qui revendique son engagement dans la foi catholique

Candidat à l’élection présidentielle 2022, je défends la ruralité et je revendique mon catholicisme comme source et socle de mon engagement politique, des valeurs que je défends et de mon programme pour «  Réparer la France ».

Mon rapport à la spiritualité nourrit ma pensée politique. Je suis catholique pratiquant (paroisse de Sainte-Marie du Pays de Verneuil - diocèse d’Evreux) et de conviction.

Aucun candidat ne prend en compte la religion comme un thème fort de la campagne présidentielle, sauf pour diviser les Français.

Les politiques connaissent-ils encore quelque chose au fait religieux ? NON ! Il n’y a qu’à écouter nos gouvernants parler de religion : Marlène Schiappa évoque les “évangélistes” pour parler des “évangéliques”, et le ministre en charge des cultes, Gérald Darmanin, décrit ces derniers comme “un problème très important”.  Lors du premier confinement, l’assistance aux offices dominicaux fut interdite, les baptêmes impossibles à organiser, les cérémonies de mariage et même d’accompagnement de nos morts furent strictement limitées en nombre (6 et 30 respectivement), ne permettant pas l’organisation de ces cérémonies et sacrements, au mépris total des droits fondamentaux à exercer librement sa religion.

Je déplore l’inculture religieuse et spirituelle de bon nombre de politiques. Je m'élève contre la fatalité qui laisserait penser qu’en 2022, la religion catholique appartiendrait à un monde disparu. Le combat politique est pourtant souvent traversé par des questions spirituelles, notamment sur les sujets de bioéthique. On doit davantage inclure le religieux dans toutes les instances qui touchent à l’éthique. Je suis chrétien, catholique et pratiquant, ce qui signifie que je ne prendrai jamais une décision qui ne respecte pas la dignité humaine.

Beaucoup considèrent avec mépris la religion qu'ils trouvent dépassée. D’autres défendent une vision faussée de la laïcité faisant de la religion le domaine exclusif de l’intime, hors du champ du débat public. C’est une erreur ! Ils se réfugient derrière la séparation entre l’État et les religions. Cette séparation a bon dos. Elle permet d’occulter du débat politique la question religieuse. Pourtant, le fait religieux est plus que jamais présent dans le monde comme en France, l’actualité nous le prouve de semaine en semaine, notamment avec les persécutions qui se multiplient à l’encore des chrétiens (attentat de Notre-Dame de Nice, assassinat du père Hamel…), les agressions de processions, les églises incendiées et/ou vandalisées.

S’intéresser à la chose publique suppose d’être au service des citoyens, et donc à l’écoute de ceux qui sont concernés par la religion. Or, 48 % des Français se déclarent liés à la religion catholique.

La méconnaissance ou l’indifférence à l’égard du fait religieux est un signe, là encore, de la déconnexion des politiques par rapport à la vie réelle des Français.

On ne peut se revendiquer homme politique en ignorant les enjeux religieux contemporains, renouvelés avec l’arrivée de l’Islam en France.

Le dialogue entre l'État et l'Église est essentiel.

Je suis le seul candidat qui défende ouvertement les valeurs chrétiennes de la France.

Je veux replacer la religion catholique dans le débat présidentiel, où seule la religion islamique est présente, via des discours qui sont loin d’apporter le dialogue interreligieux ou la paix civile.

Je suis pour un rapprochement de l’Église et de l'État, ancré sur les racines chrétiennes de la France, avec l’Etat qui est propriétaire de nos cathédrales et les communes de plus de 50.000 églises et autres lieux de culte.

L’État ne peut plus faire abstraction du fait religieux, l’Islam et plus particulièrement sa version extrémiste, replace en permanence le religieux au centre de la vie politique. Quid du catholicisme, qui demeure de loin la première religion de France ?

Nous ne pouvons laisser davantage, nos églises, nos prêtres, les fidèles être chaque jour plus menacés, insultés, agressés.

Je veux profiter de cette campagne électorale pour briser le silence écrasant des médias face aux actes antichrétiens, dénoncer et faire cesser les incessantes exactions contre les lieux de cultes en France.

Plus que jamais, je suis convaincu de l’impérieuse nécessité de réaffirmer la place de l'Église catholique en France : prééminente et ce, bien au-delà d’une simple tradition du passé, via ses plus de 10.000 prêtres, ses milliers de religieux et de religieuses, ses centaines de milliers de bénévoles en paroisses et dans l’action sociale, ses millions de fidèles, ses dizaines de millions de pratiquants irréguliers (plus de 70% d’enterrements religieux dans nos églises, chiffre peu différent de celui constaté il y a un siècle).

 

À propos de Nicolas Miguet

Père de 6 enfants, j’ai fondé en 1999, le Rassemblement des Contribuables Français (RCF). Un mouvement que je préside toujours aujourd’hui. Je me suis déjà présenté aux élections présidentielles. En 2012, 495 maires de 89 départements ont présenté ma candidature.

Par mon métier, je défends les intérêts de celles et ceux qui ont placé leur épargne dans des entreprises et qui souvent se font flouer, se font voler par le “grand bankstérisme” mondialisé. Je me bats contre lui depuis des années. Je vais chaque année assister à des dizaines d’assemblées générales. J’y représente les petits actionnaires, celles et ceux dont l’épargne a permis l’essor de ces entreprises. J’ai aidé à sauver Eurotunnel et évité la ruine totale de milliers de petits actionnaires. Je dirige une entreprise de presse, créée il y a plus de trente ans.

Je suis le candidat de cette France rurale et catholique, en grand danger. De cette France que nous avons l’impérieuse obligation de transmettre en bon état aux générations futures.